Investir en outre-mer offre plusieurs bénéfices et les meilleures opportunités pour réduire vos impôts. Pour les accomplir cependant, il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte. En effet, le choix du territoire, la localisation de l’immobilier, la tendance économique ainsi que le marché de la revente sont autant d’exemples qu’il faut considérer. Chercher les informations relatives auprès de sociétés reconnues, comme le groupe Profina par exemple, devient donc nécessaire. Il va sans dire que ces groupes vous aideront à mieux préparer votre investissement et s’assureront que l’opération se déroulera dans les meilleures conditions.
Les opportunités pour investir en DOM-COM
Il faut dire que les opportunités pour investir en DOM-COM sont nombreuses. L’attrait principal demeure l’opportunité de réduire ses impôts. En effet, à travers certains dispositifs mis en place par le gouvernement, il devient même possible de défiscaliser à travers un placement immobilier.
Pour ce faire, on parle dans ce cas de deux principaux cadres juridiques : La loi Jego, autrement connue comme le Scellier outremer, et la loi Girardin.
Afin de bénéficier du dispositif Jego, il faut faire l’acquisition d’un logement neuf et qui se trouve, bien sûr, en territoire DOM-COM. Il s’agit ici de la Guadeloupe, La Réunion, la Martinique, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon, la Nouvelle-Calédonie, Mayotte, la Polynésie française et enfin les îles Wallis et Futuna.
Ce dispositif installé en 2012, permet une réduction d’impôts allant jusqu’à 24% en Scellier Outre-mer et 32% si le Scellier outre-mer est intermédiaire. Ces réductions sont proportionnelles aux sommes investies. Le plafond de la somme investie est de 300 000 euros. A cela, l’investisseur doit également considérer le possible abattement sur les loyers perçus. Il est de 30%.
Pour bénéficier du dispositif Jego, Il y a certains critères qui lui sont propres et dont il faudra respecter. On pense notamment à la période du bail établi qui varie selon le secteur et l’île concernée. Elle est de neuf ans par exemple en secteur libre dans les départements d’outre-mer alors qu’elle est de cinq années seulement dans les les territoires d’outre-mer pour le même secteur. La durée des baux est généralement plus long dans le cas des secteurs intermédiaires.
Pour finir, le plafond de loyer est un élément crucial qu’il ne faut pas négliger lorsqu’on investit en secteur libre alors qu’en secteur intermédiaire, les ressources du locataire sont tout autant déterminantes.